« Notre intérêt reste constant pour le développement de modèles financiers innovants, inclusifs et durables, adaptés aux enjeux de l’heure, pour l’Afrique et le monde », a indiqué le chef de l’Etat togolais Faure Gnassingbé à l’ouverture à Lomé, des travaux de l’édition 2023 du Sommet sur l’industrie financière africaine (AFIS).
Prévue pour deux jours, cette 3ème édition du Sommet connaît participation d’environ 1000 leaders de l’industrie financière à savoir les banquiers, les assureurs, les fintechs, les opérateurs de marchés de capitaux et de mobile money, de même que les décideurs politiques et régulateurs venus d’Afrique et du monde.
Il sert de cadre d’échanges de très haut niveau pour élaborer des solutions aux défis du secteur financier dans le but de construire une industrie panafricaine des services financiers plus inclusive, plus robuste, plus durable.
Dans son intervention, Faure Gnassingbé a remercié le groupe Jeune Afrique et la Société Financière Internationale pour la confiance renouvelée à la capitale togolaise pour abriter ce grand rendez-vous de la finance africaine.

Il s’est réjoui de ce que le sujet de la coopération africaine constitue la trame de cette activité, car dit-il, « le Togo est engagé depuis longtemps dans la construction et la concrétisation de l’unité panafricaine ».
A Lomé, ce sera deux jours de conférences, de débats et de rencontres de très haut niveau pour élaborer des solutions concrètes aux nombreux défis posés au secteur afin de construire une industrie financière panafricaine des services financiers plus inclusive et plus robuste.
AFIS 2023 est organisé autour de quatre défis majeurs à savoir l’attraction des investissements institutionnels africains vers les marchés de capitaux locaux, la garantie de la libre circulation des capitaux et l’harmonisation réglementaire, la promotion des talents indispensables à la transformation numérique et l’innovation,
La Rédaction