Festival « Africa Rythms » : Les soirées de spectacles démarrent ce...

Festival « Africa Rythms » : Les soirées de spectacles démarrent ce jeudi

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Jusqu’au 1er juillet prochain, la capitale togolaise va vibrer au rythme des musiques africaines. Le festival de musique dénommé « Africa Rythms »  qui est à sa dixième édition cette année, met encore une fois le Togo  sur la scène internationale à travers un programme riche et diversifié  qui sera marqué à partir de ce jeudi par trois soirées de spectacles.

Les soirées spectacles dont l’une de musique urbaine et deux autres de world music, connaîtront la prestation d’artistes nationaux et internationaux notamment Matador et Cheikh Lo du Sénégal, KanAa, Sitara et Peewii du Togo, Wood sound et John Arcadiu du Bénin.

Au cours de ce festival officiellement lancé mardi dernier, les acteurs culturels ont également l’occasion de se faire former en Régie de Spectacle et Management de carrière artistique. Egalement au programme, des rencontres d’échanges et un salon de la musique nommé « Kiyekou ».

Cette 10ème édition du Festival Africa Rythms est une étape charnière à en croire le président du comité d’organisation qui dresse par ailleurs, un bilan satisfaisant des éditions précédentes. « Nous sommes assez fiers, car cela n’a pas été facile. Mais avec l’appui et la détermination des uns et des autres, on a tenu le coup. En termes de bilan, il faut dire que nous avons fait une soixantaine de scènes de spectacles, plus de cent artistes nationaux et internationaux ont joué, des acteurs culturels ont été formés et on a permis à des artistes par le biais des échanges, d’aller jouer à l’extérieur », a indiqué Christian Bégbéssou.

De grands noms de la musique d’Afrique et d’ailleurs à l’image de Lokua Kanza, Bailly Spinto, Tcheka, Koba, Boncana Maiga, King Mensah, Jimi Hope, Amen Viana, Henry Dikongue, Gangbe Brass Band, Yoro Ndiaye, Marema, Sessime, Under Kontrol se sont déjà produits dans les différentes éditions de ce festival tenu par l’association «Akcents Croisés » avec le soutien du Fonds d’aide à la Culture, de l’OIF, de l’Institut Français et de l’organisation INTEGRAALE.

David