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Gestion axée sur les résultats : Des gestionnaires d’hôtels et bars et une équipe de la DRICEHB outillés par le Cabinet AgriTorch à Kpalimé

Des gestionnaires d’hôtels et bars et une équipe de la Direction de la Réglementation de l’Inspection et du Contrôle des Établissements Hôteliers et des Bars (DRICEHB) du Ministère de la Culture et du Tourisme ont pris part du 23 au 26 janvier à Kpalimé, à une formation sur la Gestion axée sur les résultats (GAR). Animée par le Cabinet AgriTorch, la session de renforcement de capacités vise notamment à amener ces acteurs à pouvoir implémenter l’approche GAR dans leurs entreprises.

Il s’agit d’un projet initié par le ministère de la culture et du tourisme à travers la DRICEHB, avec l’appui financier du Fonds national d’apprentissage, de formation et de perfectionnement professionnels (FNAFPP). Il vise non seulement l’adoption de l’approche de gestion axée sur les résultats dans la gestion des hôtels et bars, mais aussi à améliorer la transparence et la performance aussi bien au niveau des agents que des unités hôtelières concernées.

L’idée est de permettre également l’élaboration les outils de gestion axée sur les résultats dans les entreprises hôtelières, et de suivre par ailleurs la mise en œuvre de cette approche dans les entreprises hôtelières.

Selon Dr. Bakayota Koffi Kpaye, Directeur de cabinet au ministère de la Culture et du tourisme, cette nouvelle approche responsabilise davantage chaque agent et facilite une autoévaluation objective et transparente des performances des individus et de chaque organisation.

Photo de famille

Les responsables du  Cabinet AgriTorch ont expliqué que la GAR est un outil qui attire l’attention, et permet de mesurer les efforts faits par les uns et les autres. Ce qui prouve un souci de transparence, de bonne gouvernance et de satisfaction de tous ceux qui sont impliqués dans la chaîne des résultats des hôtels.

« Les hôtels et bars notamment publics sont confrontés à une diversité de problèmes qui ne garantissent pas leur survie de manière durable sans des solutions appropriées et efficaces. A l’analyse de ces solutions, le changement de l’approche de la gouvernance apparaît comme l’une des plus judicieuses pour inverser la tendance des résultats médiocres enregistrés dans les entreprises hôtelières publiques et pour redonner l’espoir au personnel, aux dirigeants et aux usagers de ces fleurons nationaux. Il faut adopter l’approche de gestion axée sur les résultats dans ces entreprises dont la pertinence n’est plus à démontrer comme solution à la mauvaise gouvernance des organisations », a expliqué Akoété Adjéwonu, Directeur de formation au Cabinet AgriTorch.

La formation a été subdivisée en six (6) modules tous pratiques et focalisés sur les réalités des Hôtels et Bars togolais. Le premier module a concerné l’analyse de l’environnement interne et externe des sous-secteurs hôtels, restaurants et bars. Le second module s’est intéressé à l’harmonisation des notions et concepts utilisés dans la GAR.

Les quatre (4) autres modules sont destinés à formuler les indicateurs, à programmer les actions et opérations, à élaborer les tableaux de suivi des actions et à établir les responsabilités des acteurs dans le processus allant de la planification, au suivi des activités, à la production du rapport de performance et à la large diffusion des rapports à l’interne et à la reddition des comptes.

David S.




Enseignement technique : Des formateurs en dessin technique et professeurs de mathématiques renforcent leurs capacités à Atakpamé

Le ministère délégué chargé de l’enseignement technique et de l’artisanat organise du 12 au 16 décembre à Atakpamé avec l’appui du Fonds National d’Apprentissage de Formation et de Perfectionnement Professionnels (FNAFPP), un atelier de formation des formateurs en dessin technique des cycles Certificat d’Aptitude Professionnel (CAP) et Brevet de Technicien (BT).

La formation est couplée de celle en géométrie descriptive et logiciel de mathématiques à l’intention des professeurs de mathématiques de l’enseignement technique et de la formation professionnelle.

Elle vise à renforcer les capacités de ces acteurs clés du sous-secteur de l’enseignement technique et de la formation professionnelle afin que ceux-ci soient en phase avec les changements et évolutions technologiques.

Il s’agit de les outiller sur l’importance du dessin technique, l’appropriation du programme de formation en dessin technique, les problématiques de l’enseignement de dessin technique, la préparation de leçon et les méthodes d’enseignement entre autres.

Dans le cadre de ces enseignements, la stratégie nationale de l’enseignement technique et de la formation professionnelle ambitionne non seulement le développement de compétences techniques et professionnelles, une éducation et une formation de qualité, équitable et accessible à tous devant favoriser l’employabilité et la mobilité professionnelle mais également l’apprentissage tout au long de la vie et la promotion d’une croissance économique inclusive et un développement durable.

Le ministre délégué chargé de l’enseignement technique et de l’artisanat, Hodin Kokou Eké a souligné que pour ces actions, aucun maillon de la chaîne ne doit être laissé pour compte (des cadres de conception jusqu’aux agents d’exécution en passant par les formateurs).

Il a fait savoir que le sous-secteur de l’enseignement technique et de la formation professionnelle constitue aujourd’hui un des leviers stratégiques pour contribuer à l’atteinte de l’objectif global du Plan national de développement (PND), celui de transformer structurellement l’économie pour une croissance forte, durable, résiliente, inclusive, créatrice d’emplois décents et induisant l’amélioration du bien être social.

Le directeur de l’Institut National de Formation et de Perfectionnement Professionnel (INFPP), M. N’guissan Kossi Émile a de son côté indiqué que ces formations rentrent dans le développement de compétences de tous les agents tout au long de leur carrière.

L’ouverture des travaux s’est déroulée en présence du préfet de l’Ogou, Akakpo Edoh.

Depuis Atakpamé, Evrard Nomanyo




Togo : Les responsables du Conseil interprofessionnel de la filière anacarde outillés sur les techniques de plaidoyer, lobbying et leadership

Les responsables des organisations professionnelles de la filière anacarde du Togo ont été outillés du 28 novembre au 02 décembre 2022 à Sokodé dans la région centrale, sur les techniques du plaidoyer, du lobbying et le leadership. Il s’agit de leur permettre d’accroitre leur influence sur les décisions affectant la filière ainsi que la vie de ses acteurs. La formation assurée par les experts du Cabinet AgriTorch, est organisée par le Conseil interprofessionnel de la filière anacarde au Togo (CIFAT), avec l’appui financier du Fonds national d’apprentissage, de formation et de perfectionnement professionnels (FNAFPP).

Le renforcement des capacités en négociation et en influence des décisions revêt une importance particulière en ce sens que l’arbitrage et la défense des intérêts des acteurs est la mission principale que doit mener les responsables de la filière au profit de leurs membres.

Les participants à la formation sont les acteurs directs de la filière anacarde principalement les responsables des cinq (5) collèges composant le CIFAT à savoir le Conseil des pépiniéristes d’anacarde du Togo (COPAT), la Fédération nationale des coopératives productrices d’anacarde (FNCPA), l’Association Togolaise des transformateurs d’anacarde (ATTA), l’Association des acheteurs d’anacarde du Togo (3A-Togo) et le Conseil des exportateurs de la filière anacarde (CEFA).

La formation conduite dans une approche très pratique, est structurée autour de six (06) modules notamment le plaidoyer et lobbying pour les acteurs de la filière anacarde, les concepts, conditions de base et positionnement dans le lobbying, les stratégies/méthodes d’influence utilisées dans le lobbying, les étapes essentielles pour un lobbying efficace, le concept et typologie du leader, les niveaux du leadership et stratégie de son renforcement.

Selon Akoété Adjewonu, Directeur de formation au cabinet AgriTorch, la formation permet aux participants de se familiariser avec les concepts, stratégies, méthodes et principes du plaidoyer et de lobbying.

« De même, la formation doit permettre de décrire de façon très claire le rôle du lobbyist, les conditions pouvant nécessiter des actions de lobbying, les différentes étapes du processus de prise de décision ainsi que les dispositions pratiques à observer (par exemple comment éviter la stratégie de défense) pour la réussite d’une action de lobbying », a-t-il ajouté, précisant que des plans d’actions seront élaborés et validés en plénière pour servir de guide à l’organisation ultérieure des activités de lobbying par groupe de métiers ou par métier.

« Nous avons choisi de renforcer les capacités des responsables des cinq maillons pour leur permettre d’avoir les outils indispensables pour travailler au développement de la filière », a pour sa part expliqué le président du conseil d’administration (PCA) du CIFAT, Mawuko Komlan Gozan.

« Avant de décrocher des contrats par exemple, il faut savoir comment s’entretenir avec son partenaire et donc savoir faire le lobbying. De même, il faut le leadership non seulement pour décrocher un contrat mais aussi pour bien diriger son entreprise. Et enfin le plaidoyer est nécessaire pour influencer des décisions en faveur de la filière », a-t-il précisé.

En dehors des techniques et stratégies de plaidoyer, lobbying et leadership, la formation a en outre permis de proposer des actions pour le renforcement de la cohésion interne, l’engagement des acteurs de la filière et le positionnement institutionnel de la CIFAT, et d’ élaborer par ailleurs des plans d’actions de lobbying destinés à améliorer la contribution des acteurs indirects que sont l’Etat, des partenaires au développement les partenaires privées au développement de la filière.

Il faut souligner qu’au Togo, la structuration de la filière anacarde est récente. Le Conseil Interprofession de cette filière est une jeune organisation dont la professionnalisation est un impératif, d’autant plus que la filière figure parmi celles de rente, porteuses de développement pour le pays.

David S.




Togo/ Filière Soja : Le Cabinet AGRITORCH accompagne le Conseil Interprofessionnel pour la mise en place d’un Système de Suivi-Évaluation

Pour un meilleur suivi de ses activités et une production de rapports de performance, le Conseil Interprofessionnel de la filière soja du Togo (CIFS-Togo) est en passe de se doter d’un Système de Suivi-Évaluation (SSE). Les responsables du CIFS-Togo ont pris part à cet effet du 07 au 11 novembre à Tsévié, à une session de formation assurée par le Cabinet AGRITORCH, avec l’appui financier du Fonds National d’Apprentissage, de Formation et de Perfectionnement Professionnels (FNAFPP).

Cette formation des responsables du CIFS pour la mise en place d’un système de suivi-évaluation est structurée en cinq (05) modules devant permettre de renforcer les capacités des participants non seulement en programmation, mais aussi en collecte et traitement des informations, en organisation des revues périodiques, et en élaboration des rapports de performances.

Le but est de faciliter l’atteinte des objectifs de l’interprofession par la mise en place d’un processus capable de mesurer périodiquement l’étendue, la profondeur et l’évolution des actions en fournissant des données permettant d’analyser l’approche d’intervention de l’interprofession, ses résultats, ses effets et ses impacts.

Le président du CIFS (à droite) remettant l’attestation à un participant

« Le CIFS est une structure récente dont la professionnalisation des acteurs fait partie de ses priorités. Aussi bien les acteurs directs que l’équipe technique du CIFS ont des besoins énormes en renforcement des capacités pour jouer efficacement leurs rôles. Ainsi, la mise en place d’un SSE au sein du CIFS est une réponse à cette volonté de quête de performance et de professionnalisation », a expliqué Akoété Adjéwonu, Directeur de formation du Cabinet AGRITORCH.

Il a fait savoir que le SSE est essentiel pour juger de la progression réalisée par rapport aux objectifs et aux résultats et pour fournir des informations fiables et précises aux différentes parties prenantes.

« Le SSE est un outil indispensable pour toute organisation pour plus d’efficacité. C’est un système difficile à appliquer. Ainsi, commanditer un SSE, c’est aspirer à une bonne gestion et à une bonne gouvernance. C’est permettre de disposer d’un guide technique pour améliorer le suivi de l’évolution et la gestion des projets et programmes », a-t-il précisé.

Une photo de famille des participants

« Si nous avons identifié ce thème, c’est pour être plus professionnel. Vous n’êtes pas sans savoir que la filière soja est d’une grande envergure aujourd’hui au Togo. Elle est à la tête de toutes les interprofessions et elle bouge beaucoup. Nous sommes appelés à faire des planifications et pour faire une bonne planification il faut des outils. C’est donc pour pouvoir évaluer nos actions à travers nos planifications que nous avons demandé à ce que ce système soit approprié non seulement par les techniciens, mais aussi par les élus », a expliqué Pussuwè KADZAKADE, président du CIFS-Togo.

Les compétences techniques nécessaires à l’animation et au suivi de l’implémentation des résultats de la formation sont fournies par les experts du cabinet AGRITORCH. Ils sont constitués de 02 cadres supérieurs dont un ingénieur agroéconomiste, expert en planification et suivi évaluation, et un sociologue spécialiste de l’andragogie.

Ayant pour domaine d’expertise la formation, les études et la communication, le Cabinet AgriTorch a pour mission de contribuer à la performance des entreprises publiques, privées et sociales.

David S.




ZIO : Formation des agriculteurs sur les techniques de rotation des cultures

Le Centre de recherches, d’études et de formation au service du développement (CREFORSED) a entamé depuis le lundi le 20 janvier dernier à Tsévié dans la préfecture de Zio, une formation des agriculteurs sur les techniques de rotation des cultures pour la pérennisation de la fertilité des sols et sur les bienfaits d’adaptation des engrais organiques ainsi que sur la gestion du domaine agricole.

Prévue pour une durée de deux semaines, cette formation permettra aux participants de se familiariser avec les bonnes pratiques en agriculture durable, la fabrication des pesticides biologiques, les méfaits et conséquences de l’utilisation des pesticides chimiques entre autres.

L’initiative s’inscrit dans le cadre du projet « Amélioration de l’élevage et la pratique de l’agriculture durable de même que comment mieux vendre les produits agricoles pour qu’ils puissent nourrir ses producteurs ».

À l’ouverture des travaux, le chargé de planification à la préfecture de Zio, M. Metsiya Kodjo Edem a indiqué  que ce projet est initié pour promouvoir les nouvelles pratiques agricoles entre autres l’agro écologie, l’agro foresterie et pour appuyer les nouvelles filières porteuses comme la riziculture, l’anacarde et celle de soja.

Le directeur de CREFORSED, M. Vessou Kodjo et la  responsable de communication et relations publiques au Fond National d’Apprentissage, de Formation et de Perfectionnement Professionnel (FNAFPP), Mme Kwaku Gaba ont chacun de son côté invité les participants à tirer un meilleur profit de cette formation appuyée justement par  le ministère de l’enseignement technique et de la formation professionnelle à travers le FNAFPP.

Avant l’étape de Tsévié, cette formation avait été déjà effectuée le mois passé à l’endroit des producteurs de Niamtougou, Sotouboua, de Bassar et Kougnohou.

Evrard NOMANYO




Les agriculteurs de l’Akébou à l’école des nouvelles techniques agricoles

Des agriculteurs de la préfecture de l’Akébou ont entamé depuis le lundi 06 janvier à Kougnohou (chef-lieu de la préfecture), un atelier de formation sur les techniques de production intensive de poulets locaux, de la valorisation des produits et sous produits agricoles dans l’alimentation et la gestion durable des superficies cultivées.

Les travaux sont initiés par l’Association pour la promotion de l’évolution intellectuelle pour le développement durable (APEID) et réalisés par le cabinet du centre de recherches d’études et de formation au service du développement (CREFORSED) avec l’appui financier du Fond national d’apprentissage, de formation et de perfectionnement professionnel (FNAFPP).

Prévue pour dix jours, cette rencontre veut réduire les problèmes que causent des engrais et pesticides chimiques aux agriculteurs et aux consommateurs de même que leurs animaux.

Les séminaristes vont jusqu’au 17 janvier prochain s’adapter aux techniques agricoles améliorées en élevage et en agriculture durable à partir des modules portant bien attendue sur les bonnes pratiques en agriculture durable et fabrication de pesticides bio, le marketing, la gestion financière et comptable. Plusieurs formateurs apportent leurs expertises à cette formation pour rendre le secteur agricole autonome dans la satisfaction des besoins de la communauté.

Le directeur de CREFORSED, formateur M. Vessou Kodjo et le préfet de l’Akebou M. Yovo Koffi Kouma ont à l’ouverture salué cette activité de l’APEID et remercié les partenaires financiers.

De notre correspondant à Atakpamé, Evrard NOMANYO




Les producteurs et transformateurs de champignon de la préfecture de l’Amou outillés par le FNAFPP

Les techniques de production et de transformation du champion étaient au centre d’un atelier de formation de deux semaines à l’endroit d’une trentaine de producteurs de champion de la coopérative du scoop Espérance venus de plusieurs cantons de Evou, dans la préfecture d’Amou.

Cet atelier est organisé par le Conseil Permanent des Chambres d’Agriculture du Togo (CPCAP), mise en œuvre pas le Centre Agropastorale et de Promotion des Entreprises (CAPE). Il se situe dans le cadre du projet de perfectionnement des producteurs membres de la société coopérative simplifiée scoop de la préfecture de l’Amou sur la production et la transformation de champignon financé par le Fonds National d’Apprentissage de formation et de Perfectionnement Professionnel FNAFPP.

L’objectif est de permettre aux participants d’acquérir de nouvelles connaissances sur la production et la transformation de champignon et mener des échanges d’expériences. Les participants ont au cours des travaux suivi des communications partant de la prise en main des méthodes de découpage, mélange, mouillage, pasteurisation, inoculation ensachement. Ils ont été instruit d’une part sur les aspects liés à la production de champignon notamment : les divers techniques d’arrosage et de récolte et d’autre part sur les méthodes de transformation et de conservation de champignon.

« Grâce aux actions de l’axe 2 du PND, le visage de notre agriculture change positivement. A ce jour, l’une de nos principales préoccupations résident l’accessibilité permanente aux moyens de production et au meilleur marché pour les produits de nos efforts. L’Etat s’y emploi avec détermination » a souligné de son côté, M. EWOVI Kebi, Président du Conseil Permanent de la Chambre de l’Agriculture du Togo.

La Secrétaire Exécutive du FNAFPP, Mme Enyonam Thérèse KWAKU-GABA, a pour sa part expliqué que la culture de champignon est un métier d’avenir et les producteurs qui le font déjà dans l’Amou ont besoin de renforcement de capacités sur les nouvelles techniques appropriées. Elle a également souligné l’importance de l’agriculture dans le Plan National de Développement initié par le chef de l’Etat et son gouvernement. « Au terme de la mise en œuvre du vaste programme du gouvernement qui est le programme national de développement, nous avons noté de grands changements dans notre vie de tous les jours », a-t-elle précisé.

La Rédaction




Hygiène au travail : Des soudeurs et plombiers en formation à Atakpamé

 

Ils sont une trentaine d’artisans (soudeurs et plombiers) à prendre part toute cette semaine à Atakpamé, à un atelier de formation axé sur les techniques de fabrication des dispositifs de lave-mains à pédales et manuels, le marketing et sur l’hygiène au travail.

Exécutée par le cabinet Action pour la Promotion du Monde Artisanal (APROMA), cette formation est une initiative de l’association Centre  de Recherche et d’initiatives intégrées en santé communautaire (CREISCOM) avec l’appui du Fond National d’Apprentissage, de Formation et de perfectionnement Professionnel (FNAFPP).

Il s’agit d’un projet qui vise à renforcer la pratique d’hygiène en vulgarisant les dispositifs de lave-mains, et à donner aux bénéficiaires des techniques de marketing et de communication interprofessionnelle pour le travail d’équipe.

M. Salami Moussadikou, représentant le cabinet APROMA a émis le vœu qu’à la fin de cette formation, les participants soient amenés à des activités de vulgarisation des dispositifs de lave mains auprès des populations afin de réduire au maximum les risques de maladies liées aux mains sales et d’augmenter ainsi leurs revenus financiers.

Au cours des cinq jours, ils auront à parcourir plusieurs modules notamment l’entreprise artisanale et son environnement, la gestion et l’utilisation des outils comptables, le leadership participatif, les techniques d’accueils physiques et téléphoniques, le marketing et les techniques de vente ainsi que les généralités sur l’hygiène, l’assainissement, la gestion des déchets et ouvrages.

Cette initiative a été saluée par le préfet de l’Ogou, M. Akakpo Edoh qui a présidé l’ouverture des travaux.

De notre correspondant à Atakpamé, Evrard NOMANYO